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Blog de Chryss | Musique |

Blog de Chryss

MIKA SY DAVIS - la consécration -

Musique — Par istraky @ 09:22

On adore tout simplement ....

Pari tenu pour Mika et Davis. Le premier concert que le duo a donné à Antsahamanitra, hier après-midi, a été un succès sur tous les plans. Du début à la fin, et avec un public à majorité jeune, ça a été l'hystérie totale dans un Théâtre de verdure plein comme un oeuf, notamment à la seconde partie du spectacle.

Sur scène, Mika et Franck Davis rayonnent de bonheur. Le visage illuminé, les deux jeunes hommes apprécient à leur juste valeur leur succès. C’est la concrétisation de leur rêve. Un rêve qui a commencé depuis près de 3 ans. Car loin de ces artistes avides de notoriété, Mika et Davis ont peaufiné durant ces années leur musique.

« Ampindramo », « Good bye my friend » … et bien d’autres titres ont été plébiscités par le public. Dansant et chantant, les fans reprennent en chœur la majorité de leurs chansons.

Décidément, l’affiche de ce dimanche aura marqué la consécration de la jeune génération du showbiz malgache. Multo bravos !

Lu sur Midi Madagasikara et l'Express de Madagascar 


ONE SWEET DAY (Mariah Carey feat.Boyz II Men)

Musique — Par istraky @ 07:42
Sorry, I never told you, all I wanted to say.
Now it's too late to hold you. '
Cause you've flown away, so far away.

Never, Had I imagined, yeah, living without your smile.
Feelin' and knowing you hear me.
It keeps me alive. Alive!

And I know you're shining down on me from Heaven,
Like so many friends we've lost along the way,
And I know eventually we'll be together.
One sweet day.

Picture a little scene from Heaven.

Darling, I never showed you.
Assumed you'd always be there.
I took your presence for granted.
But I always cared
And I miss the love we shared.

And I know you're shining down on me from Heaven.
Like so many friends we've lost along the way.
And I know eventually we'll be together.
One sweet day.

Picture a little scene from Heaven.

Although, the sun will never shine the same, I'll
always look to a brighter day.

Yeah, Lord, I know, when I lay me down to sleep,
You'll always listen, as I pray!

And I know you're shining down on me from Heaven,
Like so many friends we've lost along the way,
And I know eventually we'll be together.
One sweet day.

And I know you're shining down on me from Heaven,
Like so many friends we've lost along the way,
And I know eventually we'll be together.
One sweet day.

Sorry, I Never told you, all I wanted to say

Tononkira - Embona sy Hanina

Musique — Par istraky @ 08:29
Embona sy hanina,
Tsiahy mahafanina
Ngoly ny fo mamelovelo,
Madisadisan'alahelo.

Ny havoana tazanina,
Tsy hita ho dinganina
Fa lavitra loatra ianao ka tsy tratra
Ny aina marary ny fo maratra.

                        Fa ny antsoko ny akony no mitampody
                        Te hihiaka mafy anie aho fa tsy tody
                        Izay jerena toa manjavozavo
                        Rako-drahona sy vohitra avo.

                        Fa mahery sy masiaka ny onja
                        Tsy lakana afaka hitondra
                        Ny maso no alefa maminany
                        Hibanjina anao any ho any.

Alahelo sy toloko,
rehefa injay tsaroko
Fa noho ny hasomparan'ny tany ,
Izaho aty ianao lavitra any

Tsy azo hiadiana ny anjara,
'zay ngamba no noheveriny ho tsara
Izaho tsy ho kivy tsy ho ketraka
Na dia mangidy mavesatra.

                      Fa ny ahy dia fitia tena marina
                      Na anaty onaona aza ho tafarina
                      Na halevina mety mandifotra olona
                      Hiposaka, haniry, hamololona.

                      Ny hany hafatro dia ny hoe matokia
                      Fa izaho tsy hitsahatra ny ho tia
                      Ny halavirana sy ny taona
                      Tsy   hahasakana antsika tsy hihaona.

vu dans  Tononkira.org


Henri Salvador est Mort à l'âge de 90 ans (Zorro est parti...)

Musique — Par istraky @ 14:06

C'est une figure les plus marquantes de la chanson francophone et l'un des rires les plus appréciés qui est décédé mercredi. Henri Salvador est mort à 90 ans d'une rupture d'anévrisme à son domicile, a annoncé sa maison de disque. Le chanteur venait de dire adieu à la scène après 75 ans de carrière.

C'est à Cayenne, chef-lieu de la Guyane française, que naît Henri Gabriel Salvador le 18 juillet 1917. Son père, Clovis, d'origine espagnole, et sa mère, Antonine Paterne, fille d'une indienne caraïbe, sont tous deux natifs de la Guadeloupe. Il a un frère, André et une sœur.

A l'âge de 7 ans, Henri débarque en métropole où ses parents ont décidé de s'installer. C'est là que vers 11 ans, il découvre le jazz à travers Duke Ellington et Louis Armstrong. Il décide alors de devenir musicien. Durant toute sa carrière jusqu'à aujourd'hui, le jazz tient une place essentielle dans l'œuvre de Henri Salvador.

Dans les années 30, Henri fait un tas de petits boulots. C'est plutôt en tant qu'humoriste, qu'il fait ses premières armes aux terrasses des cafés. Après le violon et la trompette, Henri devient un as de la guitare et c'est son père qui lui offre son premier instrument. Il s'y forme seul, à l'oreille. En 1933, à 16 ans, il obtient ses premiers engagements dans des cabarets parisiens. Très vite, son talent de musicien mais aussi d'amuseur et d'humoriste le font connaître et apprécier du public. En 1935, il joue devant le Tout-Paris au Jimmy's Bar, cabaret renommé de l'époque. Django Reinhardt, lui-même, l'engage alors comme accompagnateur.

Fantaisiste

En 1936, il devient le guitariste du violoniste de jazz américain, Eddy South. A 20 ans, Henri Salvador est soldat. Lorsque la guerre éclate, il doit attendre 1941 pour passer en zone libre. Il se retrouve ainsi à Marseille, puis Nice, via l'Espagne. Engagé dans l'orchestre de jazz de Bernard Hilda à Cannes, il est repéré par Ray Ventura qui lui propose un emploi de musicien fantaisiste dans son orchestre. Ensemble, ils partent alors pour une longue tournée à travers l'Amérique du Sud. La guerre étant là, Henri accepte. Il débarque à Rio pour Noël 1941. Grâce à lui, les spectacles sont d'immenses succès.

En 1942, au Brésil, on lui propose alors un important contrat en vedette. Il accepte et pendant plusieurs mois, il va concurrencer les stars américaines dans leur propre langue. Il joue avec succès devant des salles remplies de milliers de soldats américains.

C'est donc riche d'une nouvelle expérience, qu'il rentre à Paris à la fin de la guerre. Ray Ventura fait de nouveau appel à lui mais Henri ne sort guère de son emploi de fantaisiste. Il décide alors en 1946, de monter son propre orchestre et une fois encore, le Tout-Paris artistique et littéraire de l'après-guerre se bouscule pour venir l'écouter.

Fort alors d'une certaine notoriété, il propose au directeur de Bobino de passer en vedette et seul. C'est un succès. En 1947, Henri Salvador sort son premier disque et premier tube, "Maladie d'amour", chanson traditionnelle créole. En 1948, il partage l'affiche de l'opérette "Le Chevalier Bayard" avec Ludmilla Tcherina et Yves Montand sur la scène de l'Alhambra.

Chanson douce

En 1949, il obtient le grand prix du disque de l'Académie Charles Cros et passe à l'ABC, le temple des music-halls parisiens, dans la revue de Mistinguett "Paris s'amuse". C'est là qu'il rencontre Jacqueline, qui devient son épouse et son imprésario. Cette même année, sort le titre "le Loup, la biche et le chevalier", qui restera un classique de son répertoire sous le nom "Une chanson douce". C'est à cette époque, qu'il rencontre Boris Vian via le pianiste de jazz Jack Diéval. Il interprétera quelques-unes de ses premières chansons dont "C'est le be-bop". Cette première collaboration est brève mais ils se retrouvent vers 1954 pour produire des dizaines de succès.

Les récitals se multiplient en France et à l'étranger. En 1954, Henri Salvador donne un concert à la salle Pleyel (Paris), comble. L'année suivante, il donne 6 mois de récitals dans la capitale.

En octobre 1956, il part aux Etats-Unis où le célèbre animateur de télévision, Ed Sullivan, l'engage deux semaines dans son show. Son tempérament d'homme de scène, de véritable "showman" tel que les Américains le conçoivent, séduit les critiques de New York qui le surnomment "Fire Ball".


Chanson de la semaine

Musique — Par istraky @ 13:53

Paroles Henri Salvador - Une Chanson Douce

Une chanson douce
Que me chantait ma maman,
En suçant mon pouce
J'écoutais en m'endormant.
Cette chanson douce,
Je veux la chanter pour toi
Car ta peau est douce
Comme la mousse des bois.

La petite biche est aux abois.
Dans le bois, se cache le loup,
Ouh, ouh, ouh ouh !
Mais le brave chevalier passa.
Il prit la biche dans ses bras.
La, la, la, la.

La petite biche,
Ce sera toi, si tu veux.
Le loup, on s'en fiche.
Contre lui, nous serons deux.
Une chanson douce
Que me chantait ma maman,
Une chanson douce
Pour tous les petits enfants.

O le joli conte que voilà,
La biche, en femme, se changea,
La, la, la, la
Et dans les bras du beau chevalier,
Belle princesse elle est restée,
eh, eh, eh, eh

La jolie princesse
Avait tes jolis cheveux,
La même caresse
Se lit au fond de tes yeux.
Cette chanson douce
Je veux la chanter aussi,
Pour toi, ô ma douce,
Jusqu'à la fin de ma vie,
Jusqu'à la fin de ma vie.

(Variante pour les 2 derniers)

O le joli conte que voilà,
La biche, en femme, se changea,
La, la, la, la
Et dans les bras du beau chevalier,
Belle princesse elle est restée,
A tout jamais

Une chanson douce
Que me chantait ma maman,
En suçant mon pouce
J'écoutais en m'endormant.
Cette chanson douce
Je veux la chanter aussi,
Pour toi, ô ma douce,
Jusqu'à la fin de ma vie,
Jusqu'à la fin de ma vie.


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